Je suis sorti vivant du marathon du Lubéron le 22 octobre. Cette course est
plutôt dure, à mon sens plus difficile que Monaco : très vallonée, des
cotes assez longues dans les derniers kilomètres, le vent contre à certains
moments du retour...
J'ai fait 3 heures 32. Mais le vainqueur était en 2 heures 39 ; je n'ai
donc pas trop à me plaindre.

Je suis très content de la récupération.
Pris d'une inspiration subite, je suis allé samedi au maxi cross de Nice
Matin. Je me suis rarement senti aussi bien : 38ème en 1 heure 1 et 22
secondes, bon rythme sur les trois tours (14,470 kms) et même accélération
dans les derniers kilomètres.



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